Ablation. Les D Mondes en Développement Vol.49-2021/1-n°193 mutilations génitales féminines continuent d'être pratiquées. Son article dans la revue American Ethnologist qualifiait la pratique de « mutilation génitale féminine » et il aida à attirer l'attention sur le sujet[230],[231]. Dans le cas de MGF de type III, il faut également tenir compte de la taille de l'orifice laissé pour l'écoulement de l'urine et des règles et de la répétition de l'opération[33]. Type II : Ablation partielle ou totale du clitoris et des petites lèvres, avec ou sans excision des grandes lèvres (excision). 222-47 du Code pénal). Face à ces nouvelles réalités, il faut trouver de nouvelles stratégies et de nouveaux messages avec les communautés, reconsidérer le type de protection et . ou traditionnelle. Le géographe grec Strabon visita l'Égypte au Ier siècle et rapporta dans sa Géographie : « un autre usage spécial aux Égyptiens, et l'un de ceux auxquels ils tiennent le plus, consiste à élever scrupuleusement tous les enfants qui leur naissent et à pratiquer la circoncision sur les garçons et l'excision sur les filles »[62],[63]. Les MGF n'ont aucun bénéfice connu pour la santé et parmi les complications les plus courantes figurent des hémorragies lors de l'opération, des infections urinaires, des règles douloureuses, des douleurs chroniques, une diminution du plaisir sexuel et des problèmes durant l'accouchement. Si la famille estime que l'ouverture restante est trop large, la procédure est répétée[20]. TYPE DE LICENCE. Mackie cite le missionnaire portugais João dos Santos qui écrivit en 1609 à propos d'un groupe vivant près de Mogadiscio qui avait pour « coutume de coudre leurs femmes, particulièrement leurs jeunes esclaves afin de les rendre inaptes à la conception, ce qui augmente leur prix, à la fois pour leur chasteté et pour la confiance que leurs maîtres placent en elles ». Le taux de MGF chez les Somalis est identique qu'ils vivent en Somalie ou dans les régions frontalières en Éthiopie et au Kenya[102]. Au Ghana[122], en 1989, le chef du gouvernement du Ghana, le président Rawlings, s'est formellement prononcé contre les MGF et les autres types de pratiques traditionnelles néfastes. Mais celle qui se pratique le plus au Niger, c'est bien entendue l'excision. Une infirmière ougandaise citée dans un article de la revue médicale The Lancet en 2007 indiqua qu'un exciseur pouvait utiliser le même couteau sur une trentaine de filles en une seule séance[40]. Selon un rapport de la commission parlementaire daté de 2014, 170 000 femmes sont susceptibles d'avoir subi l'excision tandis que 65 000 filles de moins de 13 ans en sont menacées. les pays où la grande majorité des femmes sont excisées soit plus de 85 % : les pays où seules certaines fractions de la population étant touchées et où 25 à 85 % des femmes sont excisées, proportion variant selon l’ethnie, la catégorie sociale et la génération : les pays où seules quelques minorités ethniques sont concernées et où la proportion d’excisées est inférieure à 25 % : de la convention internationale sur les droits de l’enfant (CIDE) ; de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination envers les femmes (CEDEF) ; de la charte africaine sur les droits et le bien-être de l’enfant ; de la charte africaine sur les droits humains et ceux des populations ; du protocole additionnel sur les droits des femmes dit protocole de. ); des problèmes liés aux tissus cicatriciels et chéloïdes; des problèmes sexuels (douleur pendant les rapports sexuels, diminution du plaisir sexuel, etc. Type I (clitoridectomie): ablation partielle du clitoris. La dernière modification de cette page a été faite le 24 novembre 2022 à 17:23. il faudra procéder à une réouverture pour permettre à la femme d’avoir des rapports sexuels et d’accoucher (désinfibulation). pour ce type 3, de « rétrécissement de l'orifice vaginal avec recouvrement par l'ablation Au Burkina Faso[122], une loi interdisant les mutilations génitales féminines (MGF) a été promulguée en 1996, pour entrer en vigueur en février 1997. En 1929, le Conseil national des Églises du Kenya commença à parler de mutilations sexuelles des femmes en suivant l'exemple de Marion Scott Stevenson, une missionnaire de l'Église d'Écosse[4]. Elles risquent soit d'être emmenées dans le pays d'origine de leurs parents, soit de subir cette intervention dans un État membre du Conseil de l'Europe. En Suisse, des auteures travaillant sur cette thématique ont amené une réflexion sur le marquage du corps et le processus de subjectivation auxquels la labioplastie renvoie et ont mis en relief cette intervention avec la pratique de l’excision[287]. Dans le reste de l'Irak, aucune loi contre l'excision n'existe, celle-ci ne concernant que 1 % des femmes[128]. La MGF est appelée bolokoli (« se laver les mains ») en bambara, une langue parlée principalement au Mali, et isa aru ou iwu aru (« prendre son bain ») en igbo, une langue de l'Est du Nigeria[15],[16]. Les mutilations génitales féminines désignent toutes les interventions aboutissant à l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre mutilation des organes génitaux féminins pratiquées pour des raisons non médicales. Les chiffres de prévalence sont basés sur les enquêtes démographiques et de santé (DHS) développées en 1984 par l'entreprise américaine Macro International (aujourd'hui ICF International) et financées en grande partie par l'Agence des États-Unis pour le développement international et l'UNICEF[23]. Elles sont reconnues au niveau international comme une violation des droits de la personne. Introduction. Ces études sont réalisées environ tous les cinq ans dans les pays en voie de développement d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine[89] et concernent des sujets comme le SIDA, la planification familiale, l'alphabétisation, la violence domestique, la nutrition et dans certains pays, les MGF[23],[90],[91]. Bien que constituant des violations des droits humains reconnues à l’échelle internationale, les mutilations génitales féminines ont été pratiquées sur plus de 200 millions de filles et de femmes en vie aujourd’hui. La Journée internationale de tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines, est célébrée, chaque année, le 6 février. Clitoridectomie: ablation d'une partie ou de la totalité du clitoris; Excision: ablation d'une partie ou de la totalité du clitoris et des petites lèvres; » réalisée par Amandine Michez en 2017 à consulter ici.. Alors que l'assemblée plénière des Nations unies s'est prononcée solennellement pour l'éradication des mutilations génitales féminines en . Elle résout également les problèmes obstétriques et urologiques causés par l’excision[157],[158]. Les MGF sont aujourd'hui encore très répandues en Indonésie. Plusieurs cas d'ablation partielle et totale . normaux et sains ou endommagent ces tissus et entravent le fonctionnement naturel de l’organisme féminin. Jusque dans les années 1980, les mutilations génitales féminines (MGF) étaient souvent désignées sous l'expression de « circoncision féminine », ce qui reflétait une équivalence avec la circoncision masculine[2],[3]. 2 February 2017. Certains continuer de braver cette interdiction en opérant clandestinement, ou en allant le faire à l'étranger[124]. Au nombre des risques les plus directs figurent les hémorragies, les chocs septiques, les infections, la rétention urinaire et des douleurs sévères. Peu importe où et par qui elles sont pratiquées, les mutilations génitales féminines ne sont jamais inoffensives. Aucun cas de MGF n'a toutefois, à ce jour, été porté devant les tribunaux. Une fille non excisée sera considérée comme . En 1999, une femme ayant excisé 48 filles a notamment été condamnée à huit ans de prison[155]. Obioma Nnaemeka avance que la question cruciale, au-delà des MGF, est de savoir pourquoi le corps féminin fait l'objet de tant d'« abus et d'indignités » dans le monde entier, y compris en Occident[270]. En 2007, l'université al-Azhar du Caire, l'une des plus influentes du monde musulman, a déclaré que les MGF n'avaient aucun fondement dans la loi islamique[204],[205],[206]. Ablation partielle ou complète de la partie externe du clitoris, des petites lèvres, infibulation. Selon l'ONU, 200 millions de jeunes . La gestion des femmes infibulées repose sur la désinfibulation qui est un geste chirurgical simple pouvant être réalisé sous anesthésie locale. nécessaire]. De nombreux facteurs contribuent à la prévalence de la pratique. Or, avec la fermeture des écoles en raison de la pandémie de COVID-19 et la perturbation des programmes visant à protéger les filles contre cette pratique nocive, des victimes supplémentaires risquent d’être recensées au cours de la prochaine décennie. Lorsqu’une ouverture vaginale est obstruée ou rétrécie (type 3), la crainte de douleurs en cas de réouverture, et la peur que cette réouverture soit découverte, Cette ablation pouvant éventuellement s'opérer par cautérisation au fer rouge, comme le conseille le Dr Jules Guérin (1801-1886) en 1882[77],[78]. Au sujet des similarités entre les MGF et les autres modifications corporelles, la philosophe Martha Nussbaum note que la différence majeure est que les premières sont majoritairement réalisées de force sur des enfants. Les mutilations génitales féminines sont classées en 4 grands types . ); un risque accru de complications lors de l’accouchement (accouchement difficile, hémorragie, césarienne, nécessité de réanimer le nourrisson, etc.) Le Parlement kényan a également adopté en 2011 une loi interdisant les mutilations génitales. Les pays où la prévalence des mutilations chez les filles et les femmes de 15 à 49 ans est la plus élevée sont la Somalie (98 %), la Guinée (97 %) et Djibouti (93 %)[107]. Les arguments invoqués par les parents pour justifier cette procédure désagréable à savoir l'obtention d'un statut social plus élevé, une plus grande opinion de soi et de manière générale un meilleur avenir pour leurs enfants sont identiques à celles avancées par les parents désirant une excision de leurs filles[280]. L’Assemblée mondiale de la Santé a adopté en 2008 une résolution (WHA61.16) sur l'élimination des mutilations sexuelles féminines soulignant qu’une action concertée est nécessaire dans les secteurs tels que l’éducation, les finances, la justice et les affaires féminines. Mauritanie: Les mutilations génitales féminines. Mauritania. of 1 Au Sénégal[122], depuis une loi promulguée en janvier 1999, les pratiques de MGF sont illégales. Dans certaines sociétés l'adoption récente de cette pratique s'explique par la volonté de copier les traditions de groupes voisins. DOI: 10.1016/S0368-2315(04)96633-1 Corpus ID: 72769700; Prise en charge des mutilations génitales féminines de type III @article{Collinet2004PriseEC, title={Prise en charge des mutilations g{\'e}nitales f{\'e}minines de type III}, author={Pierre Collinet and Françoise Sabban and Jean Philippe Lucot and Malik Boukerrou and Lars Helge Stien and J. L. Leroy}, journal={Journal De Gynecologie . En 1997, l'OMS a classé les mutilations génitales féminines en quatre types différents. Certains intellectuels, notamment américains, défendent l'excision au nom du relativisme culturel et de la liberté de culte et remettent en cause la gravité de ses conséquences sur la santé et la sexualité des femmes. En 2007, le FNUAP et l’UNICEF ont lancé le programme conjoint sur les mutilations génitales féminines/l’excision pour accélérer l’abandon de cette pratique. génitales féminines Les mutilations génitales féminines1 (MGF) sont mondialement reconnues comme une violation des droits fondamentaux des filles et des femmes, et sont le reflet d'une inégalité entre les sexes . Joëlle Stolz, Le Burkina Faso fait reculer l’excision, Acta Obstetricia Gynecologica Scandinavica. Les mutilations sexuelles féminines recouvrent toutes les interventions incluant l'ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre lésion des organes génitaux féminins qui sont pratiquées pour des raisons non médicales. Les médecins sont tenus au signalement des cas, même potentiels, de mutilations génitales féminines, y compris ceux qui pourraient être effectués hors du territoire français. Pourtant, les mutilations génitales féminines sont la cause de complications sévères et peuvent même causer la mort. Le Programme mondial UNFPA-UNICEF visant à accélérer la lutte contre le mariage d’enfants, Programme conjoint UNFPA-UNICEF sur les mutilations génitales féminines. Une loi spécifique concernant les mutilations génitales féminines est passée en 2001, mais peu appliquée.[réf. De nos jours, l’excision constitue en France une atteinte à la personne. Recherchez parmi des Mutilations Génitales Féminines photos et des images libres de droits sur iStock. Les autres complications médicales incluent des kystes pouvant s'infecter et des névromes au niveau des nerfs alimentant le clitoris[49]. L’OMS a publié en 2010 une Stratégie mondiale visant à empêcher le personnel de santé de pratiquer des mutilations sexuelles féminines en collaboration avec d’autres grands organismes L'information est donnée par la Maison des femmes attenante au Centre hospitalier de Saint-Denis[163]. Avec une quarantaine de procès et une centaine de condamnations depuis 1979, la France est devenue l'un des pays les plus actifs dans la lutte contre les MGF en Europe[152],[153],[154]. Dans les pays où les MGF étaient considérées comme un rite de passage tels que le Kenya ou l'Ouganda, des alternatives ont été mises en place comme une cérémonie publique de remise de certificats marquant le passage des jeunes filles à l'âge adulte tandis qu'au Soudan, le programme a encouragé l'initiative Saleema signifiant « entier » en arabe afin de donner une image positive des femmes non excisées[258]. feminines consistent a oter, par des moyens souvent rudimentaires, tout ou partie des organes genitaux feminins (clitoris, levres, tissus pubiens, ouvertures vaginales et uretrales): Il s'agit d'une pratique ancestrale toujours courante dans de nombreux pays. En 2002, lors d’une Assemblée générale des Nations unies, la totalité des représentants se sont engagés à mettre fin aux mutilations sexuelles et à l’excision d’ici à 2010[réf. Des observateurs notent que ces dernières sont autorisées si la patiente est majeure et consentante tandis que la première est interdite quelle que soit l'âge et la volonté de la femme[284]. Des anthropologues ont ainsi accusé les activistes anti-MGF de colonialisme culturel[260] et ils ont en retour été critiqués pour leur relativisme moral et leur refus du concept de droits humains universels[261]. D'autres types d'infibulations 4. Quelle que soit l'origine de la pratique, l'infibulation devint associée avec l'esclavage. Cette intervention est le plus souvent pratiquée par des circonciseurs traditionnels, qui jouent souvent un rôle central dans les communautés, notamment en tant qu'accoucheurs. 329. reste la même - ce qui correspond à une augmentation de 68 % des coûts de l'inaction. On estime que 200 millions de femmes et de filles en vie aujourd'hui ont subi des MGF. Mackie remarque que les MGF existent « uniquement au sein ou à proximité » de groupes musulmans. L'anthropologue américain Eric Silverman a écrit en 2004 que les MGF ont « émergé comme l'un des sujets moraux centraux de l'anthropologie contemporaine ». Aux États-Unis, J. Marion Sims poursuivit les travaux de Brown et en 1862, il sectionna le col de l'utérus et le clitoris d'une femme se plaignant de règles douloureuses, de convulsions et de problèmes de vessie[76]. CONAKRY-Dans le souci de bannir les mutilations génitales féminines (MGF), d'ici 2030 en Guinée, le comité inter-africain USA en partenariat avec le Réseau des organisations de la jeunesse africaines leaders des Nations-Unies pour l'atteinte des objectifs du développement durable (ROJALNU-ODD/Guinée), a organisé ce vendredi 17 janvier, une journée de sensibilisation autour de cette . Cependant certains Samburu continuent à pratiquer excision et mariage forcé, ce qui amène des ONG comme la Samburu Girls Fundation de Josephine Kulea à mobiliser les forces de l'ordre pour sortir des jeunes filles des cérémonies[245]. This classification was modified in 2007. type 1 or clitoridectomy is the partial or total removal of the clitoris. Ils n’ont rien pu faire pour elle, elle est morte d’une septicémie » (Sidibé, 2002, p. 20)[269]. Les MGF sont également pratiquées par les groupes animistes notamment en Guinée et au Mali et par les chrétiens[207]. En avril 2020, le gouvernement transitoire du Soudan interdit les mutilations génitales féminines, en les rendant passibles de 3 ans de prison, alors que l'ONU estime que près de 9 femmes soudanaises sur 10 sont victimes de mutilations génitales[137]. Le groupe ethnique joue également un rôle puisque selon une enquête réalisée en 2002 en Érythrée, toutes les filles hedareb (en), musulmanes majoritairement sunnites, ont été infibulées contre seulement 2 % chez les Tigréennes, majoritairement chrétiennes, où la plupart des MGF entrent dans la catégorie « entaille sans ablation de chair »[13]. Au cours des années qui suivirent, des milliers de filles s'excisèrent les unes les autres avec des lames de rasoirs et le mouvement fut connu sous le nom de Ngaitana (« je me circoncirai moi-même ») en Meru car pour éviter de dénoncer leurs amis, les filles déclaraient qu'elles s'étaient coupées elles-mêmes. Les pratiquants voient la procédure comme renforçant non seulement les limites de leur communauté mais également les différences de genre ; la MGF démasculinise les femmes et la circoncision masculine déféminise les hommes[178],[179]. On estime que plus de 200 millions de jeunes filles et de femmes, toujours en vie, ont été victimes de mutilations sexuelles pratiquées dans 30 pays africains, du Moyen Orient et de l'Asie où ces pratiques sont concentrées.(1). L'historienne Mary Knight cite une possible référence à une fille non-circoncise sur l'inscription d'un sarcophage datant du Moyen Empire égyptien (XXe – XVIIIe siècles av. Des estimations récentes estiment qu'au moins 200 millions de filles et de femmes en . Conclusion Au Nigeria, le type I est plus courant dans le Sud du pays tandis que les formes plus sévères se trouvent au Nord[104]. Les efforts déployés à l’échelle internationale ont permis d’accélérer les progrès réalisés pour éradiquer les mutilations génitales féminines. Les mutilations génitales féminines. l’ablation de parties de leur anatomie considérées «malpropres», «non féminines ou masculines». Le président Diouf a fait un appel solennel en faveur de l'arrêt de ces pratiques et de la législation les interdisant. Dans de nombreux endroits, les mutilations sexuelles féminines sont pratiquées par le personnel médical du fait de la croyance erronée selon laquelle l’intervention est moins dangereuse lorsqu’elle est médicalisée (1). ces pratiques, savoir comment les éliminer et comment soigner celles qui ont subi des mutilations sexuelles ; informer davantage: en élaborant des publications et des outils de sensibilisation pour permettre des actions au niveau international, régional et local afin de mettre fin aux mutilations sexuelles féminines, notamment L'anthropologue Rose Oldfield Hayes nota en 1975 que les hommes soudanais éduqués qui ne voulaient pas que leurs filles soient infibulées, préférant la clitoridectomie, découvraient que les filles avaient été opérées après que leurs grands-mères eurent organisé une visite chez des proches[175]. a woman holds a razor blade in burkina faso. Parcourez 355 photos et images disponibles de mutilations génitales féminines, ou lancez une nouvelle recherche pour explorer plus de . Le chirurgien et urologue français Pierre Foldes et l’urologue Jean-Antoine Robein ont progressivement mis au point depuis le début des années 1980 une technique de réparation complète du clitoris, qui permet d’abord de supprimer la douleur latente laissée par la cicatrice. Les MGF sont quasi inexistantes dans 4 pays du Maghreb; le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et la Libye[98]. Les communautés les plus touchées sont des femmes originaires de Somalie, Érythrée, Éthiopie et Gambie, dont 7000 ont moins de 18 ans[173]. L'objectif visé est de mettre fin aux mutilations génitales fémininmales en faisant un travail de sensibilisation auprès des adolescent (e)s. Répandue en Mauritanie, la pratique des mutilations génitales féminines a touché 53,2 % des filles de moins de 14 ans et 66,6 % des filles/femmes âgées de 15 à 49 ans en 2015.
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