Qu’est ce qui peut agir sur notre corps et lui faire dire que c’est le moment ou pas le moment de faire un enfant ? Toutefois, pour les amoindrir, vous pouvez : Je n’ai pas la réponse à cette question, je suis même surprise, dans le sens où l’allaitement a plutôt pour réputation de permettre de retrouver un poids rapidement et c’est ce que moi j’ai vécu. On en parlait encore hier en masterclasse dans un de mes programmes, il y a une femme qui a un enfant de 2 ans et toujours pas de retour de couches. De nombreuses mères atténuent cet état en retirant le lait maternel de leurs seins au travail chaque fois qu'elles le peuvent, parvenant ainsi à réduire l'habitude d'allaiter de manière plus progressive. C’est ça qui est intéressant, c’est de se rendre compte que les deux se répondent. La phase d'orientation 2. Là c’est très personnel, et encore une fois tu as raison c’est le lien entre les deux. J’y allais, c’était comme ça. Résultat, vous avez une perte de masse capillaire, vous avez tout essayé et vous ne . C’est pas normal de vivre un syndrome prémenstruel dysfonctionnel, déséquilibré. Alexandra : Ca remet tellement de chose en question, de principes qui soit viennent s’imposer à nous, soit qu’on doit revoir. Un stimulus de succion continu amène l'hypophyse antérieure à maintenir un flux normal de ces hormones. Je me disais ben c’est super, un bébé ça mange toutes les 3 heures. Je pense que c’est vraiment intéressant de s’observer et connaître une matière comme Kiffe ton cycle et connaître son cycle en général. Je me suis beaucoup éloignée, j’étais en insécurité. Pour aller plus loin avec les hormones du lait maternel : L'alimentation de l'enfant en bas âge et l'obésité maternelle : facteurs de risque du développement de la maladie du foie gras non alcoolique dès l'adolescence Troubles de comportements alimentaires, grossesse et allaitement Ces articles sont également disponibles sur demande chez IPA. Certains au contraire, vont transcender ça et on a des exemples dans des personnes très célèbres qui ont vécu des choses de cet ordre là. L'allaitement maternel a bien un effet, mais beaucoup plus modeste. J’ai des amis dont les enfants continuaient à réclamer notamment lorsqu’ils avaient un gros chagrin. En tant que maman, on se sent souvent trop égoïste quand on fait un choix où on se dit que c’est pour nous. Tout ça c’est une grosse croyance. Comme on vient de le voir plus haut, les seins subissent beaucoup de changement et de modifications au cours de la grossesse. Je le vois encore aujourd’hui, ma fille est grande maintenant, elle a va avoir 8 ans. Elle avait juste 3-4 heures de vie. Gaëlle : Le premier différentiel est très très souvent l’allaitement. Je lui ai dit, parce que je m’énerve à venir t’allaiter chaque nuit à nouveau. Alexandra : En post-partum, c’est important de rester connecté à son conjoint parce que le chamboulement de l’arrivée du bébé, il le vit aussi à sa manière. Avec ma fille ainée, j’avais un séminaire qui était prévu depuis longtemps. Ça peut être le lait au chocolat qu’on a donné parce qu’on culpabilisait beaucoup. C’est un anxiolytique, on ne le sait pas beaucoup, mais la. Quand je dis que j’ai fais des choses pas ok, c’est que. On ne s’imagine pas vivre ça en fait. Si vous voulez allaiter en public à 3 ans, je ne considère pas que ce soit un problème. Souvent il y a un stade de la grossesse où même les bambins arrêtent de téter et parfois se remettent à téter après la naissance. Malgré tout la sécrétion s’arrête très très vite, après c’est juste le temps que le corps la nettoie. Il me l’ont prise un peu pour l’emmener et puis en fait… enfin voilà j’ai trouvé ça très très drôle d’arriver, de voir la scène de ma fille qui recrachait. Alexandra : Bonjour Gaëlle et à celles qui nous regardent, je suis très contente de te retrouver aujourd’hui, car je te suis sur la page Kiffe Ton Cycle depuis un moment et j’ai découvert tes sommets en ligne qui regroupent des conférences très intéressantes et pertinentes. Finalement, on fait du mieux qu’on peut à l’instant T. C’est évident, mais ce qui est véhiculé par notamment les médecins sur le post partum “ah ben c’est pour cela que vous n’avez plus de lait”. Gaëlle : C’est tellement multiple, le nombre de choses qui sont “scannées” par le corps. Ça marche pour toutes les décisions qu’on prend. Je ne comprends pas comment on peut dire une chose aussi abominable à un parent. De plus, cette hormone favorise un sommeil profond, aidant ainsi à récupérer au maximum. En théorie c’est une question de jours, après il faut l’éliminer alors. Les résultats suggèrent que l'allaitement maternel et le tempérament positif du nourrisson influencent le contact affectueux mère-enfant et entraînent des résultats neuroprotecteurs pour les nourrissons, même ceux exposés à la dépression maternelle au cours du développement précoce. Bien entendu, précise-t-il, une privation de l’allaitement n’empêche pas totalement que la mère s’attache à son enfant, et qu’elle soit une bonne mère, mais la mère ne bénéficie alors pas de l’aide précieuse prévue par la nature, aide constituée par l’imprégnation par l’ocytocine et les autres hormones sécrétée lors de l’allaitement. Mais dès qu’on te dit des choses comme ça, qui tu es toi pour penser que tu peux te faire confiance en fait. C’est plutôt de dire que tout est possible à ce niveau là, mais qu’il faut aussi qu’on se respecte. L'effet contraceptif de SLINDA repose sur l'inhibition de l'ovulation, des modifications de la glaire cervicale et des effets sur l'endomètre qui devient plus fin. C’est très dur d’insister aussi quand on est fatiguée et qu’on vient de vivre un accouchement. Ca c’est une possibilité, donc pareil ne pas s’en culpabiliser. Elle avait juste 3-4 heures de vie. Je savais que si je la laissais à la pouponnière, elle serait supplémentée. Maman allaitante qui veut retomber enceinte, si le corps est en état, les cycles vont se remettre en place. Gaëlle: C’est ce que j’ai vu aussi. mais qui rejoint la question du stress. C’est pour cela que les mamans allaitantes vont avoir tendance à penser qu’elles ont un meilleur sommeil que des mamans qui donnent le biberon. Consultez votre médecin avant de décider de sevrer. Ça ne s’est pas passé comme ça !! Comme moi je souhaitais absolument allaiter, il n’était pas question que je la laisse à la pouponnière, puisque dans ma vision des choses il fallait aussi que cette nuit-là aide aussi au déclenchement de l’allaitement. Si je réponds “oui”, je vais culpabiliser d’avoir une déprime, alors qu’en vrai j’y suis pour rien. En plus, avec tout ce qui vient de se passer psychologiquement, émotionnellement, physiquement, on va avoir cette chute d’hormone qui peut nous amener à avoir beaucoup d’anxiété, de pleurs, d’inquiétude. Donc on se retrouve avec une chute ultraviolente de cette progestérone. Gaëlle: je suis sortie, elle n’avait pas 48h. Tu dis que j’ai une force de caractère, mais en attendant, elle a pris mon bébé et elle lui a mis le petit verre dans la bouche, donc elle l’a fait. Gaëlle : Il faut trouver le juste équilibre parce que la fusion maman-enfant, elle n’est pas anormale au regard de la nature. La prolactine est galactopoïétique chez de nombreuses espèces, mais l'injection de prolactine exogène est sans effet sur le rendement laitier au cours d'une lactation établie chez les bovins. Télécharger pour Windows . C’est ce que je me suis dis en le vivant, même en le sachant, j’ai trouvé ça très dur. Je ne m’en cachais pas non plus. A priori le. Il y a une forme de deuil qui peut se faire à ce moment-là. Charge physique 2. Une fois qu’on peut nourrir un peu notre mental avec des explications, ça apaise le petit vélo qui tourne dans notre tête. Je ne sais pas si c’est lié à l’allaitement. Noter, les moments quand ils sont plus grands, l’enfant qui nous dit “ah ben c’est pas bon”. Certaines mamans ont le retour de couches vers 3 mois, d’autres 2 ans après. C’est pour cela que je dis que j’ai fais de la merde, si c’était à refaire, je ne ferai pas pareil, je prendrais des vraies décisions. Mon parcours est très liée à ce qui m’est arrivé à titre personnel, au cours de cette maternité, avant tout, avant la maternité, puisque je suis passée par la procréation médicalement assistée (PMA) et ensuite tout ce qui a pu se passer derrière. L'odeur du lait maternel a un effet sur les nouveaux-nés. Préambule La pilule est la méthode de contraception la plus utilisée en France. “ Est-ce que je veux qu’elle se respecte ou est-ce que je veux qu’elle ait de l’abnégation et qu’elle se mette au service des autres ? Gaëlle : Vicieux ou vertueux. Quand je dis que j’ai fais des choses pas ok, c’est que je n’étais pas d’accord avec moi-même, c’est ça qui a créé la tension. Mais quand je pars pour travailler plusieurs jours, elle pleure à chaque fois. Vous envisagez de donner la tétine ou sucette à votre bébé ? Un dérèglement hormonal, même minime, peut donc avoir une influence non négligeable de ce point de vue là. Moi, je lui ai dis, ce moment là il a été fondateur pour moi, pour que j’arrête mes conneries. Ma fille va avoir 2 ans et demi, à l’extérieur, elle ne réclamera pas en fait. Une autre question d’une maman : la petite déprime post-partum a t-elle une influence sur la lactation ? Il faut avoir un peu cette conscience là. Il y a quelque part ce coté un peu calmant. La progestérone va rendre un peu plus compliqué pour l’enfant le fait d’avoir le lait en tirant au niveau du sein. Je dis ça en ayant fait la PMA (procréation médicalement assistée), mais en m’étant rendue compte par la suite que clairement, Donc, oui bien sûr on peut prendre des choses comme des. 2) il y a une variabilité très très forte, on ne peut pas prédire les choses. Alexandra : Je ne savais pas qu’elle était anxiolytique, ça explique pourquoi on peut être calme. La prolactine, l'ACTH et les samatotropines sont les hormones les plus importantes pour la galactopiose. Je lui ai dis “parce que ce sera bienveillant chez moi, mon conjoint s’occupera de moi et me soutiendra, ici je ne me sens pas soutenue”. Je le fais par habitude, c’est tellement normal dans ma vie en fait, donc ça reste normal même si je suis ailleurs. C’est une start-up qui a pour but d’oser le bien être menstruel. Moi j’ai dis “je pars, soit vous nous mettez une hospitalisation à domicile, soit j’aurai rien, mais je pars”. : la nuit de la “Java”. Les animaux laitiers prometteurs sont soumis à la cruauté de la part de propriétaires peu scrupuleux et cupides grâce à l’utilisation d’injections d’ocytocine pour le lait provenant d’une vache ou d’un buffle réticent. : Tu as une grande force de caractère je le sais, mais les mamans quand elles racontent – en plus je revis le truc à chaque fois, je vie les choses quand je lis leur récit – et c’est souvent du personnel qui n’est pas soutenant. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Après je pense que c’est là où c’est complexe parce que hormonalement, on vient d’en parler, on est déjà dans un bouleversement très violent. Je suis Gaëlle Baldassari, la créatrice de. On n’est plus en train de projeter sur le futur, plus en train de penser au passé, juste ici et maintenant et ça c’est quand même très très aidé par l’adrénaline du moment qu’on est en train de vivre. Gaëlle : Pour moi c’était pas possible, à l’époque je travaillais dans la banque sur des postes à responsabilité qui faisait que c’était pas possible à mi-temps. L’éducation qu’on a reçu nous, soit on ne veut pas la reproduire, soit au contraire certaines choses, on se dit que c’était très bien et on veut faire pareil avec nos enfants (telle tradition, telle principe). A savoir également, les contraceptifs hormonaux ont pour effet secondaire de diminuer la production de lait. Notre mental voudrait tout contrôler puisqu’on nous a fait croire à l’illusion de la capacité à tout contrôler. Je pense que c’est vraiment intéressant de s’observer et connaître une matière comme Kiffe ton cycle et connaître son cycle en général. A priori le goût du lait change. Du coup, je trouve que c’est important d’écouter son corps. Notre état émotionnel joue sur notre relation de couple en post-partum. On s’en rend compte qu’une fois qu’on a des enfants en fait. Je dis ça en ayant fait la PMA (procréation médicalement assistée), mais en m’étant rendue compte par la suite que clairement, mon corps n’était pas en état d’accueillir un enfant au moment où je faisais cette PMA. Gaëlle : Je suis d’accord. Je retranscris ça avec des plus petits, par exemple on fait du portage avec mon mari. Le deuxième jour, moi aussi le matin j’en pouvais plus, après la nuit que j’avais passée à la mettre au sein. Ma fille va avoir 2 ans et demi, à l’extérieur, elle ne réclamera pas en fait. La progestérone va avoir un effet un peu étrange, c’est à dire que c’est un anxiolytique général, donc ça diminue l’anxiété en généralité, par contre ça créé de l’anxiété sociale. Parce qu’à chaque fois, il y a des décharges qui se rajoutent les unes aux autres. La progestérone est sécrétée par le placenta, donc une fois expulsé, la chute est rapide. Gaëlle : Je suis d’accord avec toi, là c’est vraiment pour moi. Ainsi, les éléments de preuve n'appuient pas le rôle de la LRP dans la médiation de l'effet galactopoïétique des journées longues (Longford et al, 1987). De la même façon, il y avait une auxiliaire qui avait quasiment forcé, le fait de la supplémenter, ça avait été assez violent. C’est vrai que si la maman est stressée quand elle ne l’a pas, mais qu’elle est moins stressée une fois qu’elle l’a. Alexandra : Du coup, j’ai bien compris l’utilité de suivre réellement ou de se faire accompagner pour la symptothermie. Je me suis dis ok, ben je vais tirer le lait que je peux pendant ce weekend là et si elle a un ou deux biberons, ben c’est ok pour moi. Je me disais mais pourquoi je fais ça ? C’est bien cette chute hormonale qui déclenche ces saignements qu’on va avoir. et ça c’est soutenu hormonalement par cette chute de progestérone qui va nous amener dans le même état de deuil physiologique. La balayer en disant “c’est pas grave, c’est les hormones”, c’est ne pas réaliser qu’on a quelque chose à accueillir. Dans cette Description, il peut y avoir de nombreuses erreurs dues à la traduction automatique! C’est pour cela que je dis que j’ai fais de la merde, si c’était à refaire, je ne ferai pas pareil, je prendrais des vraies décisions. Pour le coup, j’ai fais de la merde, j’ai pas de soucis aujourd’hui à en parler. : Bonjour Gaëlle et à celles qui nous regardent, je suis très contente de te retrouver aujourd’hui, car je te suis sur la page. Gaëlle : Ce qui se passe, c’est que pendant toute la grossesse, on est dans un bain de progestérone phénoménal. S’il y a une forme de tension, de détresse émotionnelle, il se peu aussi que ça revienne beaucoup plus tardivement ou pas. Mais à 3 ans, il n’y avait plus que la famille très très proche qui le savait. Parce que j’ai aussi eu des témoignages de femmes qui ont regretté. Après je pense que c’est là où c’est complexe parce que hormonalement, on vient d’en parler, on est déjà dans un bouleversement très violent. C’est terriblement maltraitant. C’est compliqué à vivre. On fera beaucoup plus de bien à notre enfant à reconnaître que c’est pas pour soi, même si toute la grossesse on était persuadé qu’il fallait absolument allaiter. La préménopause ne veut pas dire qu’on ne peut plus avoir d’enfant, mais peut-être une sécrétion de progestérone moins efficace après l’ovulation. Après j’ai eu de la chance, ma fille n’a pas été particulièrement malade, donc on n’a pas vu beaucoup de médecin. : Mais c’est terrible, parce que même en sachant, en ayant les éléments je me suis retrouvée acculée et prise de court. Il y a tellement de choses qui influencent. Déjà, il y a très peu d’études sur le sujet et il n’y a pas de normes. Il faut voir que cette chute hormonale, on la vit tous les mois, au moment des règles, puisqu'on était dans un bain de progestérone et d'œstrogène pendant toute la période post-ovulatoire et puis la progestérone arrête d'être sécrétée puisque le corps jaune se délite. Déjà, il y a très peu d’études sur le sujet et il n’y a pas de normes. Tant qu’on ne le regarde pas, on peut se retrouver dans la situation de le subir de façon cyclique, un épisode vraiment inconfortable. Et je me souviens de cette phrase qui me marquera à vie tellement elle est maltraitante : la pédiatre qui rentre dans ma chambre – on était plusieurs dans la chambre – “c’est qui la primi du petit bébé jaune qui veut partir aujourd’hui ? Alexandra : Au final, ça c’est important de le savoir quand on est maman : on ne peut pas tout contrôler, tout maîtriser. C’est compliqué de dire “c’est bien, c’est pas bien”, il y a toujours un point de bascule où ça devient plus problématique d’avoir ça que autre chose. C’est très marqué, après ça dépend aussi du statut ou de la culture dans laquelle on baigne, mais il y a ce côté là effectivement. Par conséquent, il est présumable que le mécanisme de rétroaction hormonale déclenché par l'allaitement peut affecter négativement le développement de la maladie et réduire les récidives . , ils apprennent par imitation. Ça pourrait être des carences en particulier ? La nature est bien faite, et c’est peu de chose que de l’affirmer, lorsque l’on prend conscience de la manière dont les processus biologiques et physiologiques fournissent une aide précieuse à l’homme en général, et à la femme allaitante en particulier. C’est plutôt accueillir ce qui se passe et se faire accompagner de personnes qui maîtrisent leur sujet si on a besoin de ça. Les champs obligatoires sont indiqués avec. Je le pose ici, vous en faites ce que vous voulez. Les éventuels effets secondaires qui découlent de la prise d'œstrogènes comprennent : Le gonflement des seins ; Les crampes aux jambes ; Les ballonnements ; L'indigestion ; Les saignements vaginaux. C’est la proposition que je lui fais. En tant que jeune maman allaitante, on s’interroge toujours sur la digestion de bébé et les coliques. Gaëlle : Après il y a la fatigue aussi, le fait notamment quand on allaite, la fameuse 2ème nuit qui peut nous mettre dans un état de fatigue absolue et qui peut augmenter encore cette sensation là. On se retrouve dans un état qu’on appelle. : il y a plusieurs deuils à faire, c’est un peu ça le problème. L’ocytocine c’est vraiment l’hormone du plaisir, du bonheur et aussi qui nous permet de nous endormir plus vite la nuit. A un moment, on peut s’écouter soi dans ce qu’on a envie d’être. « Bien sûr, cette naissance était attendue, et l’enfant est maintenant là, mais tout reste à faire pour qu’un lien joyeux relie l’enfant à sa mère et à son père. Parce que sur tous les forums, groupes de réseaux sociaux etc, ce qu’on voit, c’est que les mamans disent “oui oui j’ai arrêté » et elles n’ont pas du tout arrêté l’allaitement. Je trouve que c’est important d’avoir eu ce message là, parce que ça m’a déchargée d’avoir eu la perfection que j’attendais pour ma fille. par Alexandra | Non classé | 0 commentaires. L’allaitement peut s’arrêter pour plein de raisons : si c’est parce qu’il y a une deuxième grossesse qui se prépare, si c’est parce que l’enfant trouve que le lait n’est plus agréable, si c’est parce que nous on ne supporte plus que l’enfant tète. De toutes manières c’est très bon pour le corps de soutenir la sécrétion de progestérone. Alexandra : Effectivement, c’est intéressant de voir ta vision des choses car quand on le vit, on ne le voit pas forcément comme ça. Et l’entourage n’étant pas informé sur l’allaitement et tout ça aussi, ils n’ont pas non plus les outils pour argumenter ou s’imposer ou pour aider la maman à affirmer ses choix. Si la deuxième fonction, se reproduire est bloquée à un moment dans notre vie, ce n’est pas un hasard. Surtout quand on allaite un bambin, il peut nous parler. Et de reconnaître, que j’ai fais ce que je pouvais et on fait tous ce qu’on peut. Certains vont se nourrir du fait que c’est comme ça, ils ont toujours été comme ça et c’est ça leur vie et d’autres vont au contraire se nourrir de ça pour dire je n’accepte pas et je vais à l’opposé. Il semblerait que l'allaitement puisse diminuer de près de moitié les risques de cancer du sein ; plus longue serait la durée totale d'allaitement, meilleure serait la . Ca a été un frein tout le temps en fait. Comme moi je souhaitais absolument allaiter, il n’était pas question que je la laisse à la pouponnière, puisque dans ma vision des choses il fallait aussi que cette nuit-là aide aussi au déclenchement de l’allaitement. Parce que j’avais exprimé à ma fille, que c’était important pour moi que ça reste dans un cadre intime. Par peur. Il peut y avoir plein de portes d’entrée à cette raison pour considérer que ce n’est pas le moment. Il y a toujours une part de nous qui se demande si c’est mieux de rester à la maison ou d’aller travailler. Je me souviens très bien quand j’étais à la maternité, les professionnelles m’avaient dit “mais laissez-le à la pouponnière, on va s’en occuper, vous allez pouvoir dormir”. Moi j’ai dis “je pars, soit vous nous mettez une hospitalisation à domicile, soit j’aurai rien, mais je pars”. Je l’ai vécu avec le 2ème enfant : l’envie mentale d’avoir un deuxième enfant et tout en mois criait émotionnellement “non no way, on n’y retourne pas”. – le programme Kiffe Ton Cycle * qui permet de se comprendre dans son cycle, on en parlait un peu tout à l’heure, ça peut être le moment quand on se rend compte que ça vient nous chercher, de comprendre juste ce qu’il se passe dans notre cycle. Alors que tout se passait très bien, on peut se retrouver à avoir des crevasses qui se reforment, ou une tension, quelque chose d’inconfortable. C’est plus celles-là qui se faisaient chahuter que celles qui assumaient totalement. Un deuil n’est pas forcément négatif, on peut le vivre comme une forme de renaissance. J’ai beaucoup, beaucoup repoussé mon conjoint. C’était pas évident. Il y a des personnes qui nous rapportent que lorsqu’elles ont repris la pilule, il y a eu plus de tensions au niveau de la lactation, plus de difficultés avec le bébé ou le bébé qui s’est arrêté tout net de téter. C’est aussi de se dire “tiens je suis qui moi là dedans et quand est-ce que ça me convient et quand est-ce que ça arrête de me convenir ?”. Je l’ai vu aussi beaucoup chez d’autres mamans où les durées d’allaitement sont variables d’un enfant à l’autre, parce qu’on n’a pas le même état émotionnel, pas les mêmes ressources. Voilà. A un moment, on peut s’écouter soi dans ce qu’on a envie d’être. Le truc c’est de dialoguer avec ses enfants sur ce qui est ok pour nous et ce qui ne l’est pas. Si on est à un ou 2 ans d’allaitement, il n’y a aucun problème, 2 semaines après on relance la machine, sauf si l’enfant ne veut plus téter. Certains problèmes qui apparaissent après l'arrêt de l'allaitement incluent des maux de tête, des nausées et des sautes d'humeur. La phase fonctionnelle 4. Alexandra : J’aurais aimé que ça se passe comme ça aussi. Pour beaucoup de mamans, la reprise du travail est une étape assez difficile, que le bébé ait 3 mois, 6 ou 12. Malgré tout, 4 mois après, elle était enceinte. C’est vrai que j’y suis allée tranquille. durant la grossesse ou l'allaitement, la carence iodée introduit … Sous stress, ça va être beaucoup plus compliqué de retrouver une ovulation. A ce moment là, c'est le signal pour que la progestérone et les œstrogènes diminuent fortement. On va avoir une sécrétion constante des hormones qui sont liées à l’allaitement. Sorry, you have Javascript Disabled! A un moment le lait ne devient désagréable pour eux, car c’est quasi du colostrum (un lait très particulier qui est destiné aux tout petits). J’y allais, c’était comme ça. Ne pas faire n’importe quoi. Si tout est équilibré, il n’y a pas de raison de grossir, en lien avec l’allaitement. Je réfléchirai vraiment à ce que je peux mettre en place. Je me suis dis c’est temporaire, s’il y a une confusion sein-tétine, je sais comment la rattraper puisque je l’avais vécu juste avant. Noter, les moments quand ils sont plus grands, l’enfant qui nous dit “ah ben c’est pas bon”. Si à un moment l’idée d’avoir un deuxième, troisième ou énième enfant très rapproché, nous stresse de façon importante. On se retrouve vite seule et c’est très dur à vivre après avoir vécu cet accouchement, tous ces bouleversements d’un coup. J’avais une vision du congé maternité, pour moi c’était deux mois et demi de vacances. Puis c’est la vie ! Je préférai faire comme ça, car je ne voulais surtout pas louper ce séminaire là qui durait 2 jours. Ça s’est des choses qui sont rapporté. Là j’ai lâché. .css-tadcwa:hover{-webkit-text-decoration:underline;text-decoration:underline;}Mathilde de Robien - @media screen and (max-width: 767px){.css-1xovt06 .date-separator{display:none;}.css-1xovt06 .date-updated{display:block;width:100%;}}publié le 29/06/18. Ça peut être le lait au chocolat qu’on a donné parce qu’on culpabilisait beaucoup. L'endorphine, hormone dite du « bien-être » provoque un effet euphorisant. La croissance du tissu mammaire se poursuit également . Vouloir à tout prix forcer les choses parce qu’on voulait avoir deux enfants rapprochés ou autre, c’est peut être un peu oublier qu’il y a une intelligence physique. C’est le fait que ces deux parties ne communiquent pas entre elles qui m’a fait crée vraiment des choses très en tension avec mon entourage. Ce côté où le bébé n’est plus à nous seule et plus en nous, quelqu’un d’autres peut le prendre etc. Il faut savoir que pendant la grossesse, le corps privilégie l’enfant. Vous aimez Aleteia ? Heureusement, j’ai aussi de bons témoignages à côté, mais le personnel pas soutenant, le fait de ne pas avoir son conjoint pour aider aussi, on se retrouve la nuit toute seule. J’ai répondu “c’est moi”, elle me demande “quelles sont vos motivations pour sortir ?”. L’endorphine, hormone dite du « bien-être » provoque un effet euphorisant. C’est dans cet équilibre que je suis bien dans la famille aussi. Déjà avec les enfants, il y a plein de phases, certaines compliquées mais temporaires. Quand je dis “dans ce moment précis” c’est que le fait de devenir mère, va convoquer tout un tas de réactions qu’on avait pas l’habitude d’avoir avant, qui sont liées à notre histoire familiale, à la façon dont on a été élevé, à plein de choses. D’ailleurs c’est un peu l’idée d’un cycle menstruel, c’est aussi une forme de renaissance. Cependant, l'ocytocine sécrétée par la neurohyphophyse (hypophyse postérieure) joue un rôle important dans l'hormone déprime. Ça on le vit dans notre vie de tous les jours, même sans être allaitante. Mais c’est très personnel. “. Gaëlle : Oh oui ! D'autres effets hormonaux sur la croissance, l'équilibre nutritionnel, la régulation de l'eau dans le corps ont été rapportés chez des patients. Vous voulez être de l’aventure missionnaire qu’est Aleteia ? D’accord. Parfois il n’y a pas eu pendant la grossesse, parfois c’est à créer. Alexandra : J’ai fait le contraire, je n’ai pas repoussé mon chéri et on a eu un deuxième bébé ! Je me souviens de ces trucs-là. (cf article de Claude Didier Jean Jouveau). Oui, la lactation va m’aider à sécréter de l’ocytocine qui va être apaisante sur ce syndrome post-partum. Bienvenue dans cette nouvelle interview de Gaëlle Baldassari, nous avons abordé de nombreux sujets variés comme la chute hormonal, le retour des cycles menstruels, l’allaitement enceinte, la contraception. Alexandra : En tant que maman, on se sent souvent trop égoïste quand on fait un choix où on se dit que c’est pour nous. Je me rappelle mon mari qui m’avait dit “tu as été très sereine à la maternité”. Il semblerait en effet que la prévalence de la dépression soit plus basse chez les mères allaitantes, d’autant plus que l’allaitement insufflerait à la femme un sentiment d’accomplissement et de compétence. Les 6 premiers mois, on va être un peu au max surtout si on fait l’, Tout va dépendre de tous les combien de temps on va allaiter. C’est dans cet équilibre que je suis bien dans la famille aussi. Gaëlle : on propose aussi des programmes : – Kiffe Tes Premières Règles * un programme pour les jeunes filles à partir de 10 ans, pour leur permettre de comprendre ce qu’il se passe au niveau de leur cycle. : je pense que c’est intéressant pour les mamans d’être chez elles, dans leur petit cocon, à l’aise. Alexandra : On a eu toutes les deux une sorte de révélation autour de la maternité, toi c’est autour du cycle menstruel et des hormones et de mon coté, c’était avec l’allaitement et mon rôle de maman. Les enfants apprennent surtout par ce qu’on fait peu parce qu’on dit. Je suis ravie qu’on ait pu faire cet interview. Un petit retard d’ovulation et un bébé est arrivé. Il y a un vrai impact du retour du cycle et c’est très personnel, ça dépend de chacune, mais ça vaut le coup de le noter. Gaëlle : Il y a un peu de ça. Par contre, j’en parle ouvertement. Gaëlle : Elle ne fait pas grossir non plus. C’est compliqué de dire “c’est bien, c’est pas bien”, il y a toujours un point de bascule où ça devient plus problématique d’avoir ça que autre chose. Je me suis dis ok, ben je vais tirer le lait que je peux pendant ce weekend là et si elle a un ou deux biberons, ben c’est ok pour moi. Charte pour la protection des données personnelles. En une phrase, tu as toute l’incompétence résume : tu es une maman indigne, tu es une primipare donc tu n’y connais rien, ton bébé est jaune donc tu vas le tuer et tu veux sortir alors qu’on t’as rien demandé. Quand les règles arrivent, c’est que ça n’a pas marché quelque part. C’est l’état dans lequel on est à l’instant présent. Ce que je me suis dis à moi-même : c’est si moi je suis bien, la famille ira mieux. Dans notre société c’est pas valorisé : “Une jeune maman qui pleure, non elle devrait être heureuse d’avoir son bébé”.On a beaucoup de choses marquées comme cela dans notre société. Ce qui fait que ça déconnecte le cerveau. D’autres vont être très très au présent et d’autres vont être dans le passé, à regretter un passé perdu, à beaucoup pleurer . Si on a un doublon : un stérilet au cuivre, préservatif ou si on est en couple homosexuel ou si comme moi on a une ligature des trompes. Gaëlle: c’est aussi ce que m’avait dit ma sage-femme en ça, elle m’avait bien préparée malgré tout. que tout soit de la façon dont je voulais de bout en bout. Donc on fait quoi ? J’aurai aimé cette personne qui est capable de stopper le truc, mais je ne l’ai pas été. Alexandra : Tu as une grande force de caractère je le sais, mais les mamans quand elles racontent – en plus je revis le truc à chaque fois, je vie les choses quand je lis leur récit – et c’est souvent du personnel qui n’est pas soutenant. Des moments où elle a pris des décisions qui l’ont fait énormément culpabiliser par rapport à mon éducation. J’ai fait les choses autrement. La contraception hormonale (pilule) a t-elle un impact sur la lactation ? Les traitements hormonaux agissant sur la testostérone Mais dans la prise en charge des cancers, on a recours à d'autres types de traitements qui comportent plus d'effets secondaires : J’ai une question d’une maman qui parlait de la reprise des contraceptifs hormonaux (pilule) : Ont-elles un effet sur la lactation et sur bébé ? Si autour de nous les gens ne sont pas dans la bienveillance, c’est compliqué de ne pas se laisser faire. Rien ne la calmait. Parfois on a rajouté un truc un peu sucré. Alexandra : En même temps physiquement, c’est ça. On se retrouve vite seule et c’est très dur à vivre après avoir vécu cet accouchement, tous ces bouleversements d’un coup. Dans l'idéal, la contraception ne devrait pas affecter la qualité ni la quantité du lait maternel. Donc là t’imagine dans un bain de progestérone encore bien supérieur à ce qu’on peut avoir dans le cycle menstruel. J’ai quand même vécu un deuil de l’allaitement. Oui, à priori. Si c’était à refaire, je ferai pas pareil. Mais c’est complexe. Ca aussi ce serait lié aux hormones ou à cet effet ? Vous n’avez jamais fait un don à Aleteia ? Pour moi c’était pas possible, à l’époque je travaillais dans la banque sur des postes à responsabilité qui faisait que c’était pas possible à mi-temps. Il y a peut-être quelque chose de cet ordre là à creuser, mais ça voudrait dire que c’est déséquilibré. Bien sûr que quelque chose se serre à l’intérieur de moi, mais je lui répond qu’avoir une vie professionnelle épanouie, c’est aussi très important pour moi. Plus à partir de 1 an. : cette chute de progestérone, elle intervient juste après l’accouchement ou plusieurs jours ? C’est vrai que ce bouleversement hormonal, l’institution s’en sert pour te casser. C’est ça qui est intéressant, c’est de tout mettre dans la balance. Parce que oui, la fin d’un allaitement – même pour moi qui l’avait vraiment souhaité, préparé, il n’y avait aucune échéance particulière, si ce n’est le fait que moi je voulais revenir à moi. Les mamans ne le savent pas forcément en fait. On le voit sur le retour de couches, certaines vont avoir un retour de couches rapide bien qu’il y ait l’allaitement régulier, et d’autres vont avoir un retour de couches très tardif. 6) Notre expérience de l’allaitement long. Gaëlle: Bien sûr, avec plaisir. Gaëlle : Ce qui est intéressant, c’est que j’ai envie de mettre la casquette “approche neuro-cognitive comportemental” quand tu me dis ça. Parfois, on peut être aidé par les hormones pour le coup, quand le cycle revient. Ne pas faire n’importe quoi. Soit en me provocant du stress, un manque de confiance en moi ou en me mettant dans une situation inconfortable. Gaëlle : Ca c’est personnel, pour le coup la connexion avec le bébé. Et puis là, on vient d’accoucher, le bébé est sorti, le placenta est sorti. Mais elles sont obligées de dire qu’elles ont arrêté pour pouvoir bénéficier de la PMA.
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